Une nouvelle chronique de Mickaël qui nous parle aujourd'hui du roman de Marie Dewitte : Les chaînes d'Andromède
Edwige

Nous suivons les aventures et mésaventures de Céliandrine (alias Célia). Jeune femme au look gothique et passionnée de mécanique, elle découvre qu’une malédiction pèse sur elle et toute sa famille depuis des générations. Elle va alors s’atteler à s’en débarrasser.

Autant le dire tout de suite, ce type de roman n’est pas du tout celui que je lis habituellement. Mes poils se hérissent dès que j’entends le mot chick-lit. En revanche, quand on me parle de mythologie, là tout de suite, ça m’intéresse. J’étais donc un peu dubitatif avant de commencer ce livre. J’ai été vite rassuré par le style de l’auteur. Ça se lit vite, très vite. C’est fluide. Je trouve ça assez frais, pétillant, drôle parfois et pas trop dans les clichés du genre (même si on ne peut pas tous les éviter, forcément).

On s’attache aux personnages, enfin surtout Célia, parce que les autres sont quand même secondaires et ça se voit, mais là ça ne me gêne pas trop et ça aurait peut-être même été trop lourd de s’appesantir sur les états d’âme de plusieurs personnages.

Le côté mythologique est bien présent, donc pas de déception de ce côté. J’ai apprécié de me replonger dans l’un des mythes que je connais le mieux, en plus l’auteur semble maîtriser son sujet, c’est agréable.

En conclusion, je dirais que ce livre est plus un roman Young Adult fantastique teinté de chick-lit. Pourquoi YA ? Parce que le personnage principal, malgré ses 21 ans a plutôt des comportements et réflexions d’ado (ou de jeune adulte, ce qu’elle est), parfois un peu naïve. Aussi pour quelques facilités scénaristiques, dans le sens où quelques solutions arrivent un peu facilement pour l’héroïne.

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