Titre : le Glork
Auteur : Guillaume Carbonnaux
Genre : Science-fiction, humour
Éditeur : Auto-édité
Nombre de pages : 181
Après avoir presque détruit une civilisation entière par inadvertance, le Capitaine Hamète et son équipage se sont mis en quête de sauver le dernier survivant de la race des Glorks, et par la même occasion de profiter de ce qu’il y a de meilleur en cet univers : l’argent, la gloire et Iron Maiden.
Ils traverseront le temps et l’espace jusqu’aux confins de la galaxie. Ils feront de nombreuses rencontres et devront faire face aux pires ennemis possibles : leurs propres choix.
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Guillaume Carbonneaux est né le 24 juin 1984, trois semaines avant terme et vit dans la bourgade rémoise du nom de Reims
Après s’être fait renvoyer d’à peu près tous les collèges et lycées qu’il a fréquenté, il a eu beaucoup de mal à trouver du boulot. Du coup, un jour, il s’est dit « Hé, écrire ça peut être rigolo, tiens… » Il n’a aucun diplôme particulier qui mériterait d’être cité ici ni rien à mettre en valeur. Bref, c’est juste l’auteur du Glork.
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Tout d’abord merci à l’auteur d’avoir proposé son roman à Nualiv.
J’ai vraiment beaucoup aimé son originalité et son honnêteté, car rare sont les auteurs qui admettent que : « peu importe où on va atterrir avec le vaisseau, car dans tous les films et séries de sciences fiction, c’est toujours au bon endroit ». C’est, à peu près, ce qui est affirmé à un moment donné et je suis bien d’accord.
Mi-roman, mi-pièce de théâtre, cet ouvrage fait la part belle aux dialogues qui permettent vraiment à l’intrigue d’avancer. Ils m’ont bien fait rire et, avec le temps qu’il fait (la neige et tout et tout), j’ai apprécié de rester au chaud chez moi tout en voyageant dans le temps et l’espace. En effet, en 2142, ce n’est pas si mal de visiter d’autres planètes, même quand ce n’est pas la bonne qu’on détruit…
C’est un roman qu’on lit vite, on est rapidement plongé dedans jusqu’au cou et, dès le départ, on rit copieusement.
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