Aujourd’hui, je vous parle du roman de Défi Kombe Ndjondo : Moi, mon double et ma moitié ? J’aimerais, avant tout, remercier l’auteur pour m’avoir permis de découvrir son ouvrage en service presse
C’est un livre de sciences fiction avec des passages dans d’autres dimensions, mais comme beaucoup de science-fiction il y a d’autres styles inclus : c’est un livre fantastique avec des drames, quelques romances, mais aussi fiction juridique et donc un policier. Évidement pas tout en même temps sinon, ce serait le bazar.
Que ferions-nous si nous ne trouvions pas l’amour auprès des nôtres ? Ah et bien oui ! On ouvre un portail dimensionnel et on se fait ami avec son double, et on retrouve le double de sa moitié pour pouvoir enfin être heureux… Mais le karma dans tous ça ? Et bien oui ! Si tu n’as pas de chance dans ta vie, ce n’est pas en multipliant les possibilités que tu vas t’en sortir… Et c’est ce que notre héros va découvrir : tu peux aller partout dans l’univers, parfois, tu as de la chance et parfois pas. Mais surtout, tu multiplies la quantité d’ennuis…
À Limoges, un jeune homme doté de capacités extraordinaires va découvrir l’existence d’univers parallèles. Amoureux de sa camarade de classe qui a déjà un petit ami, il va tenter sa chance avec le double de sa bien-aimée dans une autre dimension, mais il sera surpris lorsqu’il se rendra compte que la fille qu’il aime sort déjà avec son propre double dans cet autre univers.
Dans le futur, l’un de ses doubles l’accuse d’avoir provoqué un chaos à travers les univers et le tient responsable de la mort de sa bien-aimée. Il a la ferme intention de lui faire regretter ses actes.
Une juridiction sera créée afin de faire régner l’ordre et la paix à travers les dimensions. La découverte de l’existence des univers parallèles ne va-t-elle pas bouleverser l’équilibre des mondes ?
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C’est une course-poursuite du bonheur que nous retrouvons ici, notre héros est normal, comme vous et moi, et d’ailleurs, il a trouvé sa moitié, sa femme idéale, mais pas de chance elle est en couple et ça le fait souffrir, comme pour nous. Mais il découvre ses pouvoirs ou capacités et tout va de mal en pire. Ses capacités sont l’empathie, voyager dans le temps et les portails dimensionnels.
Ce qui est très chouette dans ce roman, c’est que les dialogues sont écrits comme au théâtre, donc on cite la personne, on met deux points, on note ce qu’elle dit et entre parenthèses nous avons ses gestes. Et puis il n’y a pas n chapitres communs. Toutes les actions sont un peu simultanées, il est donc impossible faire des chapitres à part, ou alors faire le chapitre 1 dans telle dimension, le chapitre 2 dans telle dimension et dans tel temps. Car évidemment, c’est plutôt la pagaille niveau timing, puis comme il passe d’un portail à l’autre, c’est donc impossible. L’auteur a brillamment trouvé une parade en faisant des paragraphes explicatifs de ce qu’on aurait pu rater lorsqu’on suivait une scène, ou pour éviter de faire de longs dialogues non-utiles pour l’histoire.