Découvrez le dernier tome de la trilogie des Epureurs :

L’intrusion des Cybhom dans la tour de l’Espoir est une menace pour la sécurité des Réalistes.

De nouveaux moyens sont alloués à l’élaboration d’une stratégie de défense. Sindra et son équipe seront-ils de taille face à un système rompu à la manipulation ?

Les stratégies des deux camps se confrontent, non sans risques. Entrer dans ce conflit inéluctable est un défi qui conditionnera le monde de demain…

Chronique détaillée

Le plus simple est de commencer par remercier Meg de m’avoir envoyé le livre et une fois de plus avoir fait preuve de patience car entre le moment où je l’ai reçu, celui où je l’ai lu, celui où j’écris ces lignes et le moment ou cette chronique sera publié …et bien il y a au moins 3 mois. Donc merci et pardon de tout ce temps que je mets autant à Meg qu’aux gens qui suivent le site de Nualiv.

 

Au risque de n’étonner personne j’ai été une fois de plus conquise par l’écriture de Meg, de cette façon subtile mais claire d’aborder des sujets qui peuvent être lourds, délicats voire carrément insupportables aux yeux de certains.  Dans ce tome=ci sont abordé des sujets tel que le pardon, le libre arbitre, le suicide médicalement assisté, l’amitié, la famille, le féminicide, la maltraitance, la démocratie, la dictature, la manipulation personnelle ou des foules, les guerres ainsi que leur conséquences, l’inaction et bien d’autres. Malgré tout cela, ce livre reste léger, agréable, doux et plein d’espoir.

 

Alors bon évidemment on retrouve les mêmes personnages que je trouvais chouette dans les premiers romans, mais surtout ces personnages évoluent mentalement, de nouveau apparaissent dans toute leur complexité. Car oui c’est un énorme point positif aussi : les méchants ne sont pas tout noirs, les gentils ne sont pas tout blanc.

 

Je vous parlais de sujets sensibles voire carrément insupportables. Eh bien c’est mon cas, j’ai toujours trouvé insupportable des livres parlant de guerre, de l’inaction dont peut faire preuve l’être humain face à quelque chose d’horrible ainsi que la maltraitance familiale (sujet extrêmement difficile à aborder avec moi). Eh bien ici c’est pourtant abordé sans que je me dise “oh non le sujet de la guerre/la maltraitance est abordé, c’est bon j’ai ma soupe” et fermer le livre. Pas du tout, d’ailleurs ce fut même tout le contraire, dès le premier tome je me suis dit “tiens y aura-t-il la guerre qui sera abordée, en dehors des deux guerres mondiales que nous avons vécues ?”

 

Ces fameux sujets qui pour moi sont importants à aborder le sont de façon à ne pas être trop lourd, car non seulement ils font partie intégrante de l’histoire, mais aussi car ils font partie de la vie du quotidien et, à l’instar de celle-ci, ils ne font pas que passer. Je veux dire que nous ne passons pas notre vie à ne parler que d’un sujet et puis, POUF ! on n’en parle plus jamais ! Pas du tout ! Ils sont abordés de manière naturelle, ils vont ils viennent au grès de ce que vivent les personnages. On ne s’arrête pas à une discussion entre deux puis c’est fini.

 

J’aime aussi beaucoup le fait que même si on met du temps entre chaque livre, voir même dans la lecture elle-même, nous ne sommes pas du tout perdus. Il y a régulièrement de petits rappels d’où nous en sommes dans l’histoire, du lien entre les personnages et ce qu’il s’est passé et comment on en est arrivé là et pourquoi. Mais, point non négligeable, sans que ce soit redondant.

 

J’aime aussi ce qui revient dans les deux premiers volets : les chapitres courts, attractifs et surtout que ce soit une lecture accessible à tous. Il y a des mots plus complexes que d’autres sans pour autant que la lecture devient lourde et laborieuse à devoir courir auprès de son dictionnaire toutes les trois lignes.

  • Les trilogies
  • Les histoires qui font réfléchir sans en avoir l’air
  • Les livres courts
  • Une lecture très sérieuse
  • Un livre complexe
  • Un roman très long

Informations complémentaires

Titre : L’ascension
Titre de la série :
Les Épureurs (tome 3)
Auteur :
MEG
Genre :
Anticipation utopique
Éditeur :
Autoédition
Nombre de pages :
203

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